Doraemon 2 présente objectivement des sprites et des décors plutôt grossiers, mais les couleurs sont tellement vives et l’univers est si mignon qu’on passe l’éponge sans difficulté.
En revanche, il n'y a aucun vrai challenge à réaliser contrairement aux autres jeux de plate-formes. Mais bon, un peu de poésie dans ce monde de brutes, ça fait parfois du bien, non?

Arborant un univers rondouillard et coloré, des petits personnages joufflus aux grands yeux, des monstres plus attendrissants qu'effrayants, Parasol Stars fait partie de ces jeux mignons que les rétrogamers adorent. Dans la continuité des softs que crée Taito, Parasol Stars est le troisième volet de la série des Bubble Bobble. Reprenant les mêmes personnages que Rainbow Islands, il propose un mélange entre le concept du premier opus et l'originalité du deuxième.

Contrairement à ses suites désastreuses, le premier Astérix sur Master System est un excellent jeu de plate-formes avec des graphismes fins, variés, colorés et originaux.
Là où Astérix et Obélix font la différence avec Mickey ou Sonic, c'est que les niveaux sont différents suivant le personnage contrôlé. Et à la fin de chaque level, il y a un stage bonus avec Idéfix.

Les jeux Megadrive estampillés Disney étaient légion au début des 90's et Quackshot ne fait pas figure d'exception, puisque le personnage principal du jeu n'est autre que Donald Duck. Ce dernier se prend le temps d'une aventure pour Indiana Jones à la recherche d'un trésor perdu...
Les graphismes ont été soignés, le gameplay est vraiment appréciable et la bande son comporte des thèmes inoubliables. En prime, le jeu offre un côté RPG édulcoré très plaisant.

A l'origine, ce jeu est une parodie de Gradius et consorts et au bout du compte, on se retrouve avec une HuCard qui les envoie aux oubliettes.
C'est LE jeu de la PC engine, avec une jouabilité exemplaire et de très beaux graphismes. Parodius utilise pleinement les capacités de la machine, excepté pour quelques petits ralentissements, mais qui ne nuisent aucunement à la jouabilité car ils se produisent toujours quand il n'y a aucun ennemi à l'écran.

Human Sports Festival est une compilation des meilleurs jeux de sports sortis jusqu'alors sur Turbo GrafX et PC Engine. On y retrouve notamment une version féminisée de Final Match Tennis, avec en guest star Monica Seles.
Le concept de medley de jeux est intéressant mais n'apporte pas vraiment de nouveautés.

La première chose qui nous vient à l'esprit quand on joue à Konami Hyper Soccer, c'est de se dire que c'est graphiquement très moche.
Heureusement, question modes de jeu, c'est déjà plus fourni, mais finalement comme le gameplay est inexistant, ça valait bien la peine. Reste alors l'absence d'arbitre, qui entraîne bien évidemment l'absence de règles, et vous incite du coup à savater votre adversaire sans crainte.

Olympic Gold est un jeu multi-sports assez sympa à plusieurs mais réellement lassant tout seul. L'épreuve la plus intéressante est le tir à l'arc, puisque c'est quasiment la seule où il ne faut pas bourriner les boutons à tour de rôle comme un gros malade pour pouvoir avancer.

Digne successeur d'un Track & Field ou d'un California Games, Olympic Gold, sorti exprès pendant les jeux olympiques de Barcelone, nous rappellera cette célèbre maxime de Pierre De Coubertin : "L'important, c'est de partir pisser, et pour ça il y a toujours moyen d'appuyer sur le bouton Start pour mettre une pause". Enfin, à peu de choses près, il a dit ça...

Après Mickey, après Donald, ils nous manquait les frères Tic et Tac au panthéon des héros de jeux vidéo Disney. C'est désormais chose faite sur la NES.
Rescue Rangers est un jeu relativement simpliste, presque enfantin, mais diablement efficace. Les graphismes sont plus que corrects, les niveaux variés et fun, les musiques entêtantes. Mais le soft prend toute son ampleur grâce au mode deux joueurs, sujet à de bonnes crises de rire.

Aujourd'hui, ce jeu de courses passerait pour obsolète, voire carrément kitsch tant ses graphismes sont réduits au strict minimum. Mais en son temps, Super Monaco GP II était la référence des jeux de courses sur Megadrive et surtout l'un des derniers hommages pré-mortem à l'illustre coureur.
C'est justement le but de ce jeu : défier Ayrton Senna, et si possible, le vaincre!

Un épisode auquel le terme de culte n'est absolument pas usurpé. A Link To The Past est la référence de tous les Zelda : il cumule toute la puissance d'un scénario inventif, d'un voyage extraordinaire et d'une durée de vie assez exceptionnelle, le tout réuni dans une cartouche de jeu pour le plus grand plaisir des joueurs.